Pour une première approche des collections du musée et un regard aux expositions temporaires
15h30
Durée : 1h30
Gratuit

Pour découvrir les expositions temporaires et tout savoir sur Nicéphore Niépce et la photographie d’hier et d’aujourd’hui.
15h30
Durée : 1h30
3,50 €, gratuit jusqu’à 18 ans

Une visite agrémentée de démonstrations et manipulations à réaliser avec vos enfants pour mieux comprendre l’histoire de la photographie.
6 -12 ans
15h30
Durée : 1h30
3,50 €, gratuit jusqu’à 18 ans

A travers la vidéo ou la photographie, Cécile Hartmann tente de décrypter la vie dans l'ère hypermoderne qui est la nôtre. Elle s'attache à l'individu au sein d'une société de plus en plus fragmentée et en perpétuelle accélération. L'artiste poursuit ses recherches sur les formes de vie dans leurs relations à un univers global et une nature modifiée. Lors de la rencontre, Cécile Hartmann présentera les enjeux de son oeuvre et son actualité.

Rencontre organisée dans le cadre de l'exposition "Wonderland, collections photographiques du Centre national des arts plastiques"

18h45 au musée Nicéphore Niépce, gratuit sur réservation au 0385484198 / servicedespublics.niepce@chalonsursaone.fr

Pour tout connaître des expositions temporaires « Patrick Zachmann, Mare Mater », « Le regard de l’énigme, collection privée de Michel Frizot »
15h30
Durée : 1h30
3,50 €, gratuit jusqu’à 18 ans

Auteur polymorphe, Abbas photographie souvent au flash de nuit comme en plein jour. Photographe officiel de l'état du Kordofan, il suit les itinéraires du gouverneur.
Abbas réalise également une chronique d'une famille au naturel, la sienne, ses proches, ses amis. Il enregistre les atmosphères banales par amour des siens.Ainsi l'esthétique obligée, l'apparat, la tenue, la bonne tenue devant un objectif disparaissent. Sa photographie dévoile la vie banale, quotidienne, d'une famille certes originale de part la personnalité du témoin qui consigne ses jours, avec une justesse crue, débarrassée des convenances.
Sensible aux beautés féminines, il grave ses nombreuses rencontres à l'aide de son Rolleiflex. Abbas déclenche souvent au moment de la préparation d'un portrait de groupe. Il démasque ainsi la théâtralité de l'acte photographique. Abbas Habib Alla témoigne de sa place dans la société soudanaise, celle d'un marginal privilégié par son métier.
Conversation publique avec Abbas Habib Alla menée et traduite depuis l'arabe soudanais par Claude Iverné, fondateur d'Elnour.

18h45 au musée Nicéphore Niépce, gratuit sur réservation au 0385484198 /   servicedespublics.niepce@chalonsursaone.fr  

Rencontre avec le photographe soudanais Abbas Habib Alla / Elnour

Conversation publique avec Abbas habib Alla menée et traduite depuis l'arabe soudanais par Claude Iverné, fondateur d'Elnour

Abbas Habib Alla (1950) suit la formation photographique du ministère de la culture et de l'information, puis officie comme opérateur de l'état. De jour, aux heures de bureau, il enregistre les actes officiels du gouverneur. Une fois acquitté de ses offices, passé 15 heures, il poursuit naturellement l'enregistrement de sa société : le côté intime. Il offre ainsi une vue rare sur la vie quotidienne soudanaise, sans poses, artifices ni arrangements.

Auteur polymorphe, Abbas photographie souvent au flash de nuit comme en plein jour. Photographe officiel de l'état du Kordofan, il suit les itinéraires du gouverneur. Abbas réalise également une chronique d'une famille au naturel, la sienne, ses proches, ses amis. Il enregistre les atmosphères banales par amour des siens. Ainsi l'esthétique obligée, l'apparat, la tenue, la bonne tenue devant l'objectif disparaissent. Sa photographie dévoile la vie banale, quotidienne, d'une famille certes originale de part la personnalité du témoin qui consigne ses jours, avec une justesse crue, débarrassée des convenances.

Sensibles aux beautés féminines, il grave ses nombreuses rencontres à l'aide de son rolleiflex. Abbas déclenche souvent au moment de la préparation d'un portrait de groupe. Il démasque ainsi la théâtralité de l'acte photographique. Abbas Habib Alla témoigne de sa place dans la société soudanaise, celle d'un marginal privilégié par son métier.

Claude Iverné, documents spontanés, catalogue de la biennale de Bamako, novembre 2005

18h45 au musée Nicéphore Niépce, gratuit sur réservation au 0385484198 / servicedespublics.niepce@chalonsursaone.fr  

De 14h30 à 18h00 / Inscription gratuite

Vous êtes photographe amateur de 16 ans et plus.
 Vous avez une pratique isolée ou êtes membre d’une association de photographes ou d’un photo-club.
 Vous êtes dans une démarche de questionnement face à vos images, les lectures de portfolios du musée Nicéphore Niépce vous sont alors réservées.
 Elles sont l’opportunité de montrer vos travaux à des professionnels de différents profils, échanger avec eux, moins d’un point de vue technique ou simplement contemplatif, mais avant tout, sur le fond et les enjeux de votre projet photographique.Il ne s’agit ni d’un concours, ni d’un jury mais simplement d’un comité de lecture à même de partager avec vous, en toute convivialité, commentaires constructifs, mise en perspective de vos travaux et contacts éventuels.
 Le comité de lecture sera composé de trois ou quatre membres, professionnels de la photographie.La participation est gratuite sur inscription obligatoire.
Chaque lecture dure 30 minutes.
 
 Ces rencontres sont faites pour vous, n’hésitez pas à participer.

A travers l’image fixe et l’image animée, Patrick Zachmann confronte son histoire familiale à celles des migrants d’aujourd’hui. Il aborde leur rapport à la mer qu’ils traversent et à la mère qu’ils quittent. Le récit s’élabore autour de cette relation entre mère et fils, homme et femme.

Au cœur de son exposition, Patrick Zachmann présentera les différents enjeux de ce journal méditerranéen.
Une signature de l’ouvrage « Mare Mater, journal méditerranéen » sera proposée à l’issue de la rencontre.

Patrick Zachmann (né en 1955) se consacre depuis 1976 à des projets au long cours mettant en lumière la complexité des communautés dont il questionne l’identité, la mémoire et la culture. Après s’être plongé en 1982 dans l’univers violent de la police et de la mafia napolitaine, il se lance dans une longue réflexion personnelle sur l’identité juive : Enquête d’identité. En 1989, son reportage sur les événements de la place Tienanmen est largement repris par la presse internationale. Il reçoit le Prix Niépce. Son travail est celui d’un photographe voyageur interrogeant les traces de l’Histoire ou en quête d’objets persistants.

Patrick Zachmann est membre de l’agence Magnum.
http://www.magnumphotos.com/patrickzachmann